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Clarissa Minos
Cancer - ♋︎
Clarissa Minos
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Clarissa Minos

« esprit, es-tu là? »

surnom: Pouille. Merci de ne jamais m'appeler comme ça.
âge: 38 ans… déjà?
date de naissance: 18 juillet, le sixième degré du troisième décan du Cancer. Pas le plus mauvais des auspices.
orientation sexuelle: Je ne suis pas vraiment intéressée par tout ça. Je crois que le terme est «asexuelle»? J'essaye de m'éduquer et de me déconstruire, mais j'ai encore beaucoup à apprendre!
pronom d'usage: Elle
métier/occupation: Medium et astrologue. Bon, c'est encore tout récent…
groupe: Eau
nationalité: Française
avatar: The 13th Doctor – Doctor Who
feat: Sans vouloir me vanter, on me dit souvent que je ressemble à Jodie Whittaker.
Caractère
Enthousiaste Nerveuse Distraite Curieuse Hypersensible Impressionnable Aventureuse Solitaire Altruiste

Choses favorites
Boisson: Pas de café, merci. Vous n'auriez pas du lapsgang souchong plutôt?
Plat: Un bon petit risotto préparé avec les premières asperges de la saison… et une bonne rasade de vin blanc.
Chanson: Fly Me to the Moon chantée par Frank Sinatra dans un salon chaleureux, un chat qui paresse sur le canapé, le soleil qui se couche dans le jardin.
Couleur: Orange! Vous saviez que c'est le fruit qui a donné son nom à la couleur et pas l'inverse?
Odeur: La fleur d’oranger, bien évidemment… surtout dans une fouace encore chaude.
Animal: Mon chat, Touille.
Dinosaure: Dans une autre vie, je devais être un Mei Long…
Objet: Une boule à thé en acier inoxydable. Elle n'a rien d'extraordinaire à première vue comme ça, vous trouverez la même à la Foir'Fouille pour 3€, mais je l'utilise comme pendule. C'est une longue histoire.
Personne: Ne le dites pas à ma mère mais probablement mon ancienne voisine, Madame Dolores. Elle me manque…

Physique
Taille: 1m70 exactement.
Poids: 75 kilos. J'essaye d'en être contente.
Couleur & texture des cheveux: Ça fait des années que je me fais passer pour une blonde, mais je suis brune au naturel. Ce n'est pas vraiment un secret d'ailleurs, il n'y a qu'à voir mes racines.
Coiffure favorite: Là aussi, ça fait des années que j'ai la même, un bob coupé au niveau du menton avec raie à gauche.
Couleur des yeux: Bruns. Ma mère dirait «noisettes» parce que «ça fait plus joli».
Lunettes/lentilles: J'ai des lunettes de lecture ou quand je suis sur un écran. Que voulez-vous, je ne vais pas en rajeunissant.
Bijoux: J'ai l'oreille gauche percée à l’hélix et au lobe, mais c'est tout. Je n'aime pas les colliers, les bagues ou les bracelets, je trouve ça très inconfortable et peu pratique.
Tenue la plus portée: J'aime bien les vêtements amples, T-shirts, pantalons larges et bottines sous un grand manteau d’homme. Le look de l'ado éternelle… mais je préfère mille fois ça aux tailleurs que j'ai dû porter pendant bien trop longtemps.
Tâches de naissances/Cicatrices: Rien de remarquable.
Tatouages: Aucun. Un jour peut-être, pour ma crise de la quarantaine?
Questionnaire
Tu t'hydrates bien? C'est une des conditions sine qua non pour emménager à Cédratier? En même temps, avec la chaleur qu'il peut faire ici en été, ce n'est pas une mauvaise idée. Est-ce que je m'hydrate bien… J’aimerais dire que oui, mais franchement je ne pense pas.
Tu as quelqu'un dans ta vie? Non. Question suivante?
Tu prends quoi au petit-déjeuner? Du thé, un yaourt maigre avec du muesli et un fruit de saison… bon, d’accord, parfois je craque et j’achète des céréales au chocolat – mais je met du lait d’avoine dedans!
Tu prendrais quoi pour vivre dans un sous-marin? Probablement un appareil photo, pour immortaliser les paysages sous-marins, les poissons… et une tenue de plongée avec une bonbonne d’oxygène. On n’est jamais trop prudent.
Tu fais quoi pour passer le temps? Des mots croisés. C'est nul hein?
Tu penses quoi de l'astrologie? Et bien, c’est mon métier. Je suis medium et astrologue… depuis un an…
Quel est ton conte, ou tes légendes préférées lorsque tu étais enfant? Oh, j'adorais le conte de Raiponce, je rêvais d'avoir de longs cheveux dorés!
Tu participes à l'entretien des citronniers de la ville? Parfois, ça me rappelle mon enfance ici. J’aurai préféré des orangers ceci dit.
Tu penses quoi des rumeurs qui circulent en ville sur les choses que l'on ne voient pas? L’univers est rempli de choses invisibles à nos sens, de phénomènes inexplicables, de coïncidences. Je ne vois pas pourquoi il y en aurait moins ici que dans le reste du monde. D’ailleurs, si vous pensez vivre des phénomènes paranormaux, n’hésitez pas à me contacter, mon numéro est le…
Que penses-tu de Cédratier? Est-ce que tu t'y sens bien? Je suis heureuse d’être de retour!
Tu penses vraiment qu'il y a un tueur en série par ici? Je fais confiance à madame la maire. Dans tous les cas, les esprits parleront et je serai là pour les écouter.

Anecdotes
• Je suis une excellente jongleuse, ce qui ne m'a jamais servi à rien.
• J’ai pris des cours de flamenco. Ça ne m’a jamais servi à rien non plus, mais j’en ai de bons souvenirs. Il y en a à Cédratier? Il faudra que je me renseigne à la mairie.
• Personne n’a jamais su d’où venait mon surnom d’enfance (qui me poursuit encore à ce jour), pas même ma mère qui en est pourtant l’initiatrice.
• Je pratique le yoga depuis bientôt huit ans, j'ai commencé par des cours à plusieurs mais je préfère largement faire ça seule chez moi. Ce n’est pas pour autant que je suis souple et c’est très frustrant.
• Mon deuxième prénom est Martine. Personne n'est parfait.
• Je me suis fait refaire le nez à 21 ans, sans doute la meilleure décision de ma vie.
• Je déteste la mayonnaise avec passion. L’idée d’œufs crus battus dans de l’huile me révulse.
• À un moment de ma vie j’ai sérieusement envisagé de devenir pilote d’avion.
• Je ne suis pas très proche de mes parents, ni de qui que ce soit à vrai dire. J’aime la solitude, l’indépendance.
• Grâce à mon ancien métier, j’ai appris les bases de beaucoup de langues pour faciliter le contact avec les clients étrangers. J’ai encore de bons restes.
• J’aime beaucoup chanter. Je chante extrêmement faux.

Histoire
Il y a quelque chose de magique avec les odeurs, c’est qu’elles peuvent vous faire remonter le temps.

Je suis née ici, à Cédratier. À l'époque mes parents habitaient encore la vieille ville, on vivait juste au-dessus de leur boulangerie-pâtisserie. L'appartement sentait le pain chaud, le beurre et, oui, la fleur d'oranger. J’ai ce parfum dans le nez depuis ma naissance. Je ne m’en lasse pas; et il suffit que je sente la fragrance de ces petites fleurs blanches pour qu’instantanément je me retrouve assise à la table de la cuisine, une table en formica jaune, à faire mes devoirs (leçons de français, de mathématiques, de jographie). À l’étage d’en-dessous, le four opérait la magie ancestrale du feu pour dorer les pâtes feuilletées et me faire saliver d’envie. Bien entendu, tout le quartier connaissait Cécile et Tanguy Simon, de la boulangerie Simon. Et tout le quartier me connaissait, moi, «la petite Clarisse Simon», dite Pouille.

Clarissa Minos n'est pas mon vrai nom.

Une enfance à Cédratier est souvent une enfance tranquille. La mienne en tout cas l’a été, suffisamment pour qu’en faire ici une description exhaustive ne serve à rien. J’ai vécu des aventures extraordinaire de banalité dans cette ville écrasée de soleil, à battre la campagne, jouer dans la montagne, me perdre parfois, courir après les lézards, attraper les cigales, faire des bouquets de lavande et voler des citrons. Puis, plus tard, sécher les cours pour fumer en secret dans la vieille chapelle, donner rendez-vous à des garçons dans la zone commerciale, projeter des explorations nocturnes de la grotte miraculeuse et me dégonfler au dernier moment à cause d’un bruit bizarre, avoir un accident de scooter – plus de peur que de mal, ne vous inquiétez pas.

À l’époque, je ne m’intéressais pas vraiment à toutes ces histoires sur les choses qu’on ne voit pas. Quand on grandit avec, elles s’inscrivent naturellement dans le quotidien, on n’y fait pas plus attention qu’au paysage. Il n’y a vraiment que les touristes et les parisiens en quête d’authenticité pour en faire un si grand cas et partir en « randonnées folkloriques » pour tenter d’apercevoir le dahu ou les traces de pas de la bête du Gévaudan – même si de Cédratier à la Lozère, il faut compter bien trois heures de voiture. J’étais un peu plus rationnelle. Ce que j’aimais, c’était les bâtiments, les vieilles pierres. J’aimais voir comment les gens s’emparaient d’un lieu pour en faire un endroit intime, un nid, un refuge, j’aimais voir les maisons connaître une deuxième ou une troisième vie, entendre leurs murs résonner de rires et de cris. Je pouvais passer des heures à reluquer les devantures des agences immobilières à lire les annonces et contempler, rêveuse, les photos de ces intérieurs sublimes.

L’architecture aurait pu être ma voie, la décoration d’intérieur aussi. Finalement, par un concours de circonstances, je me suis retrouvée vers la fin de mon lycée à être bénévole, le temps d’un été, dans une association de lutte contre le sans-abrisme. De là, je suis allée à Limoges faire un BTS Professions immobilières suivi d’une Licence Pro activités juridiques dans le droit de l’immobilier. Fraîchement diplômée, jeune, ambitieuse et idéaliste, j’ai commencé à lutter contre le mal-logement en région Occitanie, travaillant pour et au sein de diverses associations, organisations et autres fondations.

C’est fatigant d’être activiste. Les besoins sont infinis, au-delà de la capacité de chaque être humain. D’un côté, on est confrontés à la détresse humaine, au mal-être, au spectacle révoltant de conditions de vie indignes et dégradantes; de l’autre, à l’incompétence et la passivité des pouvoirs publics, l’inhumanité de la machine administrative, l’avarice du capitalisme. À force de toujours être investi dans une cause extérieure, on finit par négliger sa vie privée et ses propres besoins. On se donne à une cause au-delà de ses limites physiques et psychologiques. À un moment donné, le corps n’est plus capable. J’habitais à Toulouse, loin de ma famille et de Cédratier, je n’avais pas le temps pour des amis, des amants, des loisirs.

Mes supérieurs ont constaté mon burnout bien avant moi et m’ont gentiment conseillé de prendre de la distance avec le militantisme. Grâce à leurs réseaux, j’ai trouvé un poste plus calme dans le milieu des galeries et des résidences artistiques. Moi qui voulais retourner me battre au plus vite, j’y ai trouvé une forme de confort jusqu’alors inconnue. J’y suis restée quelques mois qui sont vite devenus des années. Doucement, je gravissais les échelons, j’ai été engagée par une grosse agence, on m’a confié des dossiers avec plus de responsabilités, des clients étrangers du marché de l’art ou de l’industrie du luxe, de fil en aiguille ces clients-là m’ont demandé des conseils pour investir dans l’immobilier. C’est ainsi que j’ai rencontré Thomas.

Thomas était l’homme idéal. Un jeune galeriste brillant, cultivé, drôle, attentionné, beau, c’en était presque insupportable. Il était prévenant, anticipait mes désirs, respectait mes limites, partageait mes goûts. Il cuisinait divinement bien, savait bricoler, aimait la littérature et le cinéma, mangeait bio et allait nager tous les week-ends. Nous avions tous les deux une situation confortable, nos familles approuvaient notre relation. Il n’y avait rien pour ternir notre histoire. J’étais heureuse. Mais Thomas a voulu m’épouser. Il rêvait de s’enorgueillir de nos bagues au doigt, d’une vie de famille, deux enfants, peut-être un chien, une maison de banlieue et une autre à la campagne. Bien sûr, j’ai refusé. Mes rêves à moi étaient des rêves de voyages, de décisions prises sur un coup de tête, d’escapades et de nomadisme, de liberté. L’idée de fonder une famille avec lui ou qui que ce soit d’autre ne me tentait pas, celle de porter et d’élever des enfants encore moins. Mon futur se voulait libre d’obligations domestiques. Thomas, ses parents, les miens furent très déçus. Notre relation aurait pu s’en accommoder, mais je suis tombée enceinte. Le résultat du test, que j’avais fait avec beaucoup d’incrédulité, m’a bouleversé. J’ai décidé de ne pas garder l’enfant, sans consulter Thomas. Il ne l’a pas supporté.

Je suis allée au travail le lendemain de notre rupture avec une vilaine migraine et un cœur brisé. Je devais faire visiter une très vieille bâtisse dans la campagne, un corps de ferme superbe dans un état de conservation remarquable. Les potentiels acheteurs étaient un couple de designers italiens. Un gros dossier, plutôt difficile mais prometteur. Je pense avoir entendu les chuchotements dès mon arrivée, mais je n’en suis pas certaine. Camoufler mes maux pour être la plus professionnelle possible pompait toute mon énergie. Le courant passait bien, la visite touchait à son terme, j’avais réussi à faire rire mes clients. Ils demandèrent s’il était possible, avant de partir, de voir l’intérieur du puits à margelle dans la cour. C’est en m’en approchant que j’ai entendu, clairement, les murmures dans mon dos. Je me suis retournée, mes clients parlaient entre eux quelques pas en arrière. Le vent qui m’aura joué un tour, probablement. J’ai tendu la main pour ouvrir les volets de bois condamnant le puits.

Un éclair de douleur, comme un poignard planté derrière l’œil. Le sol a basculé sous mes pieds au moment exact où toute la moitié de mon corps se changeait en chiffon. Tout est devenu flou, puis très lumineux. Enfin, le noir total.

Et toujours ces chuchotements.

Quand je suis sortie de l’hôpital après mon AVC et que j’ai retrouvé mon appartement, je ne l’ai pas reconnu. Je n’ai pas compris qui habitait là. Dans mes archives, les familles dans le besoin et les logements sociaux s’effaçaient pour laisser place à des noms célèbres achetant des baraques dont les prix donnaient le vertige. Les t-shirts et les jeans disparaissaient au milieu des chemises et des tailleurs sur mesure, des talons inconfortables. Aucune carte postale venant d’amis, mais des cartons d’invitations rédigés en cursive sur un épais papier crème. Je ne me reconnaissais pas. Je ne savais plus qui j'étais. En pleine crise d'identité, on a toqué à ma porte. C'était Madame Dolores.

Madame Dolores était ma voisine du dessous, une vieille dame très élégante, un peu excentrique, entourée d'une aura de distinction et de mystère. On disait d'elle qu'elle était une ancienne comédienne célèbre venue finir sa vie dans la Ville Rose loin des feux des projecteurs et des paparazzi. Elle qui était simplement venue s'enquérir de mon état de santé après mon accident, voyant mon état de détresse, m'invita chez elle pour boire le thé. Assise à sa table devant un lapsang souchong trop infusé, dans son appartement sombre aux airs d'antiquaire, j'ai craqué. J'ai déballé toute ma vie à cette inconnue de quarante ans mon aînée qui m'écoutait en silence, porte-cigarette au coin de sa bouche trop maquillée.

– Cé pouits, il avait déjà été ouvert? me demanda-t-elle à la fin avec son accent à couper au couteau.
– Euh... Oui, bien évidemment, je l'avais fait inspecter pour des raisons sanitaires. On a bien fait d'ailleurs, car il y avait plusieurs ossements au fond, maintenant que j'y pense.

Madame Dolores garda le silence un instant, un silence lourd comme de la fumée d'encens, me fixant de ce regard extraordinaire qui donnait l'impression de plonger dans les tréfonds de votre âme.

– Tou m'a dit qué tou vénait dé Cédratier, si?
– Oui. Vous connaissez?
Claro. Las cosas que no vemos.

Il y a quelque chose de magique avec les odeurs, c’est qu’elles peuvent vous faire remonter le temps.

On sent Cédratier avant d'y arriver. Fenêtre ouverte, je conduis lentement dans les lacets de montagne, et c'est mon enfance que je respire à plein poumons. J'emménage aujourd'hui dans une petite maison de la vieille ville, celle où je suis née n'existe plus, mes parents l'ont revendue il y a des années pour s'installer dans le Cédratier moderne et jouir de leur retraite bien méritée. J'ai vendu mon appartement toulousain, mes tailleurs et mes talons. Dans la valise qui rebondit sur la banquette arrière, il n'y a pas grand chose de mon ancienne vie.

Madame Dolores a su voir mes dons, elle m'a légué tout son savoir. Dans son testament, elle m'a confié tout son matériel, ses grimoires et ses cristaux, sa planche ouija et ses photographies spirites. Les esprits du puits avaient une mission pour moi. Je suis revenue à Cédratier pour la mener à bien. Je ne suis plus agent immobilier. Je ne suis plus Clarisse Simon. Je suis Clarissa Minos, medium et astrologue.
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Xude pour vous servir, alias Infinie, en référence à l'époque pas si lointaine où j'étais une divinité toute-puissante qui déprimait dans son pavillon de banlieue. Certaines mauvaises langues diront que je suis aussi acide qu'un citron; c'est juste qu'il n'y a que la vérité qui blesse, Ariane ¯\_(ツ)_/¯
Ariane R. Khan
Scorpion - ♏︎
Ariane R. Khan
Bienvenue merveilleuse Divinité <3
Le monde du RPG ne serait pas pareil sans toi, aussi acide que tu es !

J'aime beaucoup Clarissa Martine Minos ce qui dépeint d'elle et son caractère. Elle me semble vraiment très humaine et chacune des anecdotes à son sujet renforce encore plus sa profondeur. Bon choix Raiponce, cela nous fait déjà ça en commun !

J'ai véritablement hâte de lire la suite de ta fiche et de pouvoir écrire de nouveau avec toi.

Si tu as la moindre question, tu sais où nous trouver ! Bon courage !
Clarissa Minos
Cancer - ♋︎
Clarissa Minos
Tu vas me faire rougir, vilaine!

Ma fiche est terminée, j'espère qu'elle sera à la hauteur de tes attentes Smile
Ariane R. Khan
Scorpion - ♏︎
Ariane R. Khan
Que veut-tu que je dise ? Je ne sais même pas par où commencer...

Je suis amoureuse de ta fiche, de ton écriture, de ta manière de nous apporter l'histoire. Je suis amoureuse de Clarissa et de sa manière de vivre, de sa liberté et de son chemin qu'elle a trouvé tellement tardivement. J'aime ta plume, tu le sais déjà, j'aime tes écrits généralement, ça aussi. Mais Dieu, que cette fiche était incroyable ! Ta création est parfaite, elle s'acclimate tellement bien sur le forum. Clarisse Simon rentre tellement bien dans l'image des habitants de Cédratier, et elle donne tellement de vie à la ville que l'on a essayé de modeler.

Merci d'être venu et de nous faire partager ça ! Je suis impressionnée, bravo !
Pour approfondir ton personnage au besoin, si jamais elle est prise, nous avons une voyante, diseuse de bonne aventure, locale June Lennox, qui a sa grand-mère, Violette Kanza, qui était une voyante implanté à Cédratier depuis bien longtemps. On est pas exactement dans le même domaine, mais Clarissa peut connaitre Violette, tout le monde la connaissait à vrai dire. Je te passais juste l'information en passant, si jamais ça pourrais t'intéresser dans tes prochains RPs.

Bien, maintenant passons aux choses sérieuses !

Validé !

Félicitation petit chat !

Bravo te voilà validé ! Tu as enfin pu déposer tes valises à Cédratier. Le lieu est idyllique, mais ne te laisse pas trop fleurir, et pense à travailler pour faire tourner l'économie locale ! Tu peux venir faire une demande de logement ici, une demande de commercer par-là et pour toute autre demande cela se passe par ici !
Je te conseil aussi d'aller faire un tour par-là pour tout ce qui est Réseaux Sociaux, et si tu as la moindre question ou suggestion, ici !
Angus O'connell
Verseau - ♒︎
Angus O'connell
BONSOIR JE SUIS EN RETARD

Mais je voulais dire que : Je n'ai pas été déçu.
Ta plume est douce, précise, intelligente, pleine d'un humour subtil (raciste envers les Espagnols).
C'est toujours un plaisir de lire tes histoire et Clarissa est extrêmement touchante ♥

Ensuite quelqu'un qui aime Fly me to the mon c'est forcément quelqu'un de bien. Jo t'aime.
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