Mathew M. Davis
Flâneries (Sorry I got lost again) || Lysandre Sam 12 Déc - 14:28
Égarement
La démarche traînante et le nez en l’air, tu avances tranquillement dans les rues de la ville. Un podcast dans les oreilles — saviez vous que le clovvn de Ca n’avait jamais existé mais était inspiré de plusieurs histoires ? Toi non — tu laisses ton regard vagabonder sur les fenêtres et vitrines qui t’entourent, attiré par les couleurs et les bribes de vie que tu aperçois. Les fêtes de fin d’année approchent et certains, sans doute très prévoyants, ont déjà disséminé ça et là quelques indices pour rappeler que, bientôt, il s’agira de faire Les achats — tu te demandes, d’ailleurs, ce qui ferait plaisir à ta grand-mère.
La démarche traînante et le nez toujours en l’air, tu ne remarques pas que cela fait de longues minutes maintenant que tu as quitté ta carte (et ton objectif) des yeux, et que cette rue là, sur la gauche, était la dernière que tu pouvais prendre pour ne pas être totalement perdu. Mais tout cela n’a pas vraiment d’importance, tu as aperçu un drôle d’oiseau là haut, au dessus des toits, faire de jolies choses pour impressionner ses camarades.
La démarche de plus en plus traînante et le nez rougi maintenant caché dans ton écharpe, tu n’entends pas que ton podcast s’est arrêté, captivé par ce petit groupe et leur guitare, qui reprennent l’un de ces airs de George Michael que tu aimes tant. Non, tu les écoutes de longues minutes encore et ce n’est que lorsqu’il s’agit de repartir qu’un doute t’assaille et t’enserre le cœur. Tu farfouilles alors tes poches à la recherche du précieux et ne peux retenir un soupir de soulagement en le sentant sous tes doigts. Ce soupire se transforme bien vite cela dit, lorsque tu te rends compte qu’il est éteint et bien décidé à le rester.
Totalement immobile et le nez tournant dans tous les sens, au même rythme que ton regard qui cherche la moindre indication quant à ta position et le chemin à suivre, tu finis par enfin réaliser le pétrin dans lequel tu viens de te mettre. Encore une fois, voilà que tu t’es perdu, Mathevv, et cette fois-ci personne ne pourra te venir en aide à moins que tu en demandes.
Mais t’adresser à un inconnu en pleine rue ? Le déranger alors qu’il vaque à ses affaires ou est sans doute perdu dans d’importantes pensées ? Faire peur à une vieille dame ou risquer d’énerver un homme d’affaire pressé ? Oh non, ce n’est pas dans tes cordes — ce ne l’est plus depuis bien longtemps.
C’est pourquoi pour l’instant tu restes seul, tournant bêtement en rond, à la recherche d’une solution et croisant les doigts pour n’attirer l’attention de personne — ce serait, après tout, terriblement gênant. .
La démarche traînante et le nez toujours en l’air, tu ne remarques pas que cela fait de longues minutes maintenant que tu as quitté ta carte (et ton objectif) des yeux, et que cette rue là, sur la gauche, était la dernière que tu pouvais prendre pour ne pas être totalement perdu. Mais tout cela n’a pas vraiment d’importance, tu as aperçu un drôle d’oiseau là haut, au dessus des toits, faire de jolies choses pour impressionner ses camarades.
La démarche de plus en plus traînante et le nez rougi maintenant caché dans ton écharpe, tu n’entends pas que ton podcast s’est arrêté, captivé par ce petit groupe et leur guitare, qui reprennent l’un de ces airs de George Michael que tu aimes tant. Non, tu les écoutes de longues minutes encore et ce n’est que lorsqu’il s’agit de repartir qu’un doute t’assaille et t’enserre le cœur. Tu farfouilles alors tes poches à la recherche du précieux et ne peux retenir un soupir de soulagement en le sentant sous tes doigts. Ce soupire se transforme bien vite cela dit, lorsque tu te rends compte qu’il est éteint et bien décidé à le rester.
Totalement immobile et le nez tournant dans tous les sens, au même rythme que ton regard qui cherche la moindre indication quant à ta position et le chemin à suivre, tu finis par enfin réaliser le pétrin dans lequel tu viens de te mettre. Encore une fois, voilà que tu t’es perdu, Mathevv, et cette fois-ci personne ne pourra te venir en aide à moins que tu en demandes.
Mais t’adresser à un inconnu en pleine rue ? Le déranger alors qu’il vaque à ses affaires ou est sans doute perdu dans d’importantes pensées ? Faire peur à une vieille dame ou risquer d’énerver un homme d’affaire pressé ? Oh non, ce n’est pas dans tes cordes — ce ne l’est plus depuis bien longtemps.
C’est pourquoi pour l’instant tu restes seul, tournant bêtement en rond, à la recherche d’une solution et croisant les doigts pour n’attirer l’attention de personne — ce serait, après tout, terriblement gênant. .
Lysandre O. Flamiers
Re: Flâneries (Sorry I got lost again) || Lysandre Sam 19 Déc - 11:46
qui erre se perdflâneries.
feat. Mathew M. Davis
We could get lost together.Lysandre parle en #98FB98
L'hiver. Sa neige. Son Noël. Ses cadeaux. Ses cheminées. Si l'hiver ne te paraît pas si froid que ça au vu de tout ce qui lui est associé, ça n'empêche pas un fait indéniable ; tu n'aimes pas l'hiver.
Pas plus que tu aimes l'été à vrai dire. Tu es plus un enfant de mi-saison. Jamais tu n'as compris l'attirance des gens pour les saisons soit trop froides, soit trop chaudes, alors qu'il y a un juste milieu. Certes, l'été symbolise les vacances et l'hiver les joyeuses fêtes de fin d'année. Mais est-ce que tout cela a une réelle symbolique à tes yeux ? Pas vraiment. Rien ne vaut la naissance des fleurs ou les arbres colorés de teintes de feu - selon toi, évidemment.
Bien sûr, ne pas aimer l'hiver ne te prive pas d'avoir des congés à cette période ; il y a la fermeture annuelle, que tu es tout de même bien content de pouvoir savourer tous les ans. Et même si tu vis seul, sans trop de proximité avec un quelconque être humain, tu respectes, chaque année, avec la même rigueur, le rituel que tu as mis en place. L'achat des cadeaux.
Tu as déjà préparé la liste en avance, pour savoir où aller et pour qui. Ton budget a été aussi minutieusement préparé, mais tu as déjà anticipé tout au long de l'année en faisant quelques petites économies pour que ça ne se ressente pas sur tes dépenses mensuelles.
Surtout, tu avais bien conscience qu'acheter les cadeaux n'allait pas te prendre longtemps. Il n'y a pas grand monde à qui tu tiens assez pour prendre le temps de réfléchir à ça, ou plus simplement, y mettre les moyens. Vu que ce nombre se compte sur les doigts d'une seule main, moins de deux heures après être parti de chez toi, tu as déjà terminé.
Pour une rare fois, tu t'es détourné de ton chemin. Tu n'as pas décidé de rentrer directement après avoir eu assez de sacs et d'objets dans les mains, mais tu as plutôt choisi d'aller te faire plaisir en allant dans un café du centre ville pour te poser, prendre un petit délice sucré, et probablement anticiper la réaction de tes proches à la reception de leurs divers présents. Le maniaque que tu es aime beaucoup trop prévoir les choses, y compris les émotions. Et ça te donne aussi une raison de plus pour profiter un peu de ton début de week-end, parce que tu sais que ton dimanche se fera sous une couette, affalé sur ton canapé, devant une série qui ne t'intéresse pas spécialement -mais c'est ta routine, et tu y tiens.
C'est à ce moment précis, en sortant de tes pensées et en étant non loin du café où tu veux aller, que tes yeux remarquent un jeune homme totalement perdu. S'il ne s'adresse à personne pour autant, tu vois bien à son regard et sa manière de tourner la tête que connaître sa droite et sa gauche ne vont pas l'aider à se sortir de là.
Tu hésites un peu. Aller voir un inconnu n'est pas ce que tu fais de façon générale, parce que tu prévois trop - et là, ça relèverait bien de l'imprévu. Mais tu as déjà choisi d'aller dans un endroit imprévu de ton planning, alors pourquoi ne pas en faire profiter quelqu'un d'imprévu aussi ? Ta routine va s'en retrouvée plus que chamboulée, mais une fois de temps ne temps ne peut pas te faire de mal, n'est-ce pas ?
Au lieu de continuer de fixer ce garçon, tu t'avances d'un pas décidé vers lui. Peut-être un peu trop, quelqu'un de sensible pourrait en avoir peur.
— Monsieur ? Désolé de vous déranger. Vous semblez perdu, je peux peut-être vous aider ?
Tu peux mieux l'observer, maintenant que tu es plus proche qu'avant, et tu remarques son nez rougi. Tu ne peux que supposer qu'il est dehors depuis peut-être plus longtemps que toi, ou alors, il a un visage qui prend vite des couleurs mais tu n'es pas en mesure de le savoir, ni de le déduire. Ton optique d'allier l'imprévu à l'imprévu pourrait finalement être bénéfique à cette personne.
— Ou je peux vous offrir une boisson chaude en même temps pour qu'on attrape pas froid ?
D'un geste de la tête, tu lui indiques le café vers lequel tu te dirigeais initialement. Qui ne tente rien n'a rien.
Pas plus que tu aimes l'été à vrai dire. Tu es plus un enfant de mi-saison. Jamais tu n'as compris l'attirance des gens pour les saisons soit trop froides, soit trop chaudes, alors qu'il y a un juste milieu. Certes, l'été symbolise les vacances et l'hiver les joyeuses fêtes de fin d'année. Mais est-ce que tout cela a une réelle symbolique à tes yeux ? Pas vraiment. Rien ne vaut la naissance des fleurs ou les arbres colorés de teintes de feu - selon toi, évidemment.
Bien sûr, ne pas aimer l'hiver ne te prive pas d'avoir des congés à cette période ; il y a la fermeture annuelle, que tu es tout de même bien content de pouvoir savourer tous les ans. Et même si tu vis seul, sans trop de proximité avec un quelconque être humain, tu respectes, chaque année, avec la même rigueur, le rituel que tu as mis en place. L'achat des cadeaux.
Tu as déjà préparé la liste en avance, pour savoir où aller et pour qui. Ton budget a été aussi minutieusement préparé, mais tu as déjà anticipé tout au long de l'année en faisant quelques petites économies pour que ça ne se ressente pas sur tes dépenses mensuelles.
Surtout, tu avais bien conscience qu'acheter les cadeaux n'allait pas te prendre longtemps. Il n'y a pas grand monde à qui tu tiens assez pour prendre le temps de réfléchir à ça, ou plus simplement, y mettre les moyens. Vu que ce nombre se compte sur les doigts d'une seule main, moins de deux heures après être parti de chez toi, tu as déjà terminé.
Pour une rare fois, tu t'es détourné de ton chemin. Tu n'as pas décidé de rentrer directement après avoir eu assez de sacs et d'objets dans les mains, mais tu as plutôt choisi d'aller te faire plaisir en allant dans un café du centre ville pour te poser, prendre un petit délice sucré, et probablement anticiper la réaction de tes proches à la reception de leurs divers présents. Le maniaque que tu es aime beaucoup trop prévoir les choses, y compris les émotions. Et ça te donne aussi une raison de plus pour profiter un peu de ton début de week-end, parce que tu sais que ton dimanche se fera sous une couette, affalé sur ton canapé, devant une série qui ne t'intéresse pas spécialement -mais c'est ta routine, et tu y tiens.
C'est à ce moment précis, en sortant de tes pensées et en étant non loin du café où tu veux aller, que tes yeux remarquent un jeune homme totalement perdu. S'il ne s'adresse à personne pour autant, tu vois bien à son regard et sa manière de tourner la tête que connaître sa droite et sa gauche ne vont pas l'aider à se sortir de là.
Tu hésites un peu. Aller voir un inconnu n'est pas ce que tu fais de façon générale, parce que tu prévois trop - et là, ça relèverait bien de l'imprévu. Mais tu as déjà choisi d'aller dans un endroit imprévu de ton planning, alors pourquoi ne pas en faire profiter quelqu'un d'imprévu aussi ? Ta routine va s'en retrouvée plus que chamboulée, mais une fois de temps ne temps ne peut pas te faire de mal, n'est-ce pas ?
Au lieu de continuer de fixer ce garçon, tu t'avances d'un pas décidé vers lui. Peut-être un peu trop, quelqu'un de sensible pourrait en avoir peur.
— Monsieur ? Désolé de vous déranger. Vous semblez perdu, je peux peut-être vous aider ?
Tu peux mieux l'observer, maintenant que tu es plus proche qu'avant, et tu remarques son nez rougi. Tu ne peux que supposer qu'il est dehors depuis peut-être plus longtemps que toi, ou alors, il a un visage qui prend vite des couleurs mais tu n'es pas en mesure de le savoir, ni de le déduire. Ton optique d'allier l'imprévu à l'imprévu pourrait finalement être bénéfique à cette personne.
— Ou je peux vous offrir une boisson chaude en même temps pour qu'on attrape pas froid ?
D'un geste de la tête, tu lui indiques le café vers lequel tu te dirigeais initialement. Qui ne tente rien n'a rien.
sherlock || www.
Mathew M. Davis
Re: Flâneries (Sorry I got lost again) || Lysandre Sam 16 Jan - 11:46
Inconnu
Cherchant toujours le moindre indice, la moindre indication pour t’aider à retrouver le chemin jusque chez toi — tant pis pour ces courses, tu les feras plus tard, ce n’était pas si important que cela en vérité (si, Math, c’était important (oh non)) — tu continues de tourner en rond, posant ton regard sur ces panneaux que tu as déjà regardés vingt fois. L’un d’entre eux indique bien un centre ville historique, mais tu n’as aucune idée de si cela te rapprochera ou, au contraire, t’éloignera encore plus de ta destination, et n’oses donc pas le suivre. Pas plus que tu n’oses adresser un signe au jeune homme qui te fixe depuis quelques minutes, comme s’il te connaissait, de peur qu’il soit en train de regarder quelqu’un d’autre — et s’il y a bien une chose que tu détestes, Miles, c’est rendre un bonjour de la main qui ne t’était pas adressé.
Le jeune homme se lève — ce n’était pas toi qu’il fixait, tu as pris la bonne décision — et déjà tu détournes ton attention pour la reporter sur ton problème, ce téléphone qui vraiment (vraiment) refuse de s’allumer et ton sac dans lequel ne se trouve aucun guide touristique, quand bien même ta grand-mère t’a répété une dizaine de fois au moins de le prendre avec toi, au cas où. C’est donc avec une grande surprise (et une once de peur, soyons honnêtes), que tu accueilles l’inconnu, retenant ta respiration une seconde, puis expirant dans un nuage de buée en amenant une main à ton cœur.
« Monsieur ? Désolé de vous déranger. Vous semblez perdu, je peux peut-être vous aider ?
Oh non ! Vous ne me dérangez pas, c’est à moi de m’excuser je, je ne voulais pas vous importuner » bafouilles tu, maladroitement, alors que le jeune homme reprend « Ou je peux vous offrir une boisson chaude en même temps pour qu'on attrape pas froid ? »
A cet exact moment, Mathew, tu cesses plus ou moins de fonctionner et n’offres qu’un grand silence en guise de réponse à l’invitation du jeune homme. Tout ton être te hurle de refuser et de partir en courant, tes joues rouges bien cachées sous ton écharpe. Enfin, presque tout ton être. Le reste te rappelle que ce serait la plus malpolie des choses et que ce gentil inconnu ne mérite pas de te voir le fuir et que si tu décidais de le faire, alors sans doute te détesterait il pour le reste de tes jours. Te voilà donc face à un dilemme : culpabiliser d’être un poids et de t’imposer dans la vie d’un inconnu ; ou culpabiliser d’être malpoli et de causer une vie entière de haine — ou quelque chose comme ça (tu n’as jamais vraiment été dans la demi mesure).
« Je ne voudrais pas vous embêter » reprends tu finalement, avec une lenteur témoignant des efforts considérables que tu fais pour trouver les bons mots et te sortir de cette mauvaise passe « Vous aviez sans doute d’autres plans ! Même si je dois bien reconnaître qu’un chocolat chaud ne ferait pas de mal par un tel froid ah ah. Mais non, je ne peux pas accepter, ce ne serait pas raisonnable, merci tout de même. Enfin, si vous voulez vous en prendre un bien sûr, faites le ! Et. hm. Roh » râles tu, avant de venir te pincer l’arrête du nez. Voilà que tu t’embrouilles, Mathew, ce qui t’embête et, tu en es persuadé, embête l’inconnu. « Merci de votre aide, mais je ne veux vraiment pas vous déranger. » conclues tu, finalement, le regard fuyant et un sourire aux lèvres.
Maintenant, il s’agit de savoir dans quelle direction tu peux partir en courant sans prendre le risque de te perdre encore plus.
Le jeune homme se lève — ce n’était pas toi qu’il fixait, tu as pris la bonne décision — et déjà tu détournes ton attention pour la reporter sur ton problème, ce téléphone qui vraiment (vraiment) refuse de s’allumer et ton sac dans lequel ne se trouve aucun guide touristique, quand bien même ta grand-mère t’a répété une dizaine de fois au moins de le prendre avec toi, au cas où. C’est donc avec une grande surprise (et une once de peur, soyons honnêtes), que tu accueilles l’inconnu, retenant ta respiration une seconde, puis expirant dans un nuage de buée en amenant une main à ton cœur.
« Monsieur ? Désolé de vous déranger. Vous semblez perdu, je peux peut-être vous aider ?
Oh non ! Vous ne me dérangez pas, c’est à moi de m’excuser je, je ne voulais pas vous importuner » bafouilles tu, maladroitement, alors que le jeune homme reprend « Ou je peux vous offrir une boisson chaude en même temps pour qu'on attrape pas froid ? »
A cet exact moment, Mathew, tu cesses plus ou moins de fonctionner et n’offres qu’un grand silence en guise de réponse à l’invitation du jeune homme. Tout ton être te hurle de refuser et de partir en courant, tes joues rouges bien cachées sous ton écharpe. Enfin, presque tout ton être. Le reste te rappelle que ce serait la plus malpolie des choses et que ce gentil inconnu ne mérite pas de te voir le fuir et que si tu décidais de le faire, alors sans doute te détesterait il pour le reste de tes jours. Te voilà donc face à un dilemme : culpabiliser d’être un poids et de t’imposer dans la vie d’un inconnu ; ou culpabiliser d’être malpoli et de causer une vie entière de haine — ou quelque chose comme ça (tu n’as jamais vraiment été dans la demi mesure).
« Je ne voudrais pas vous embêter » reprends tu finalement, avec une lenteur témoignant des efforts considérables que tu fais pour trouver les bons mots et te sortir de cette mauvaise passe « Vous aviez sans doute d’autres plans ! Même si je dois bien reconnaître qu’un chocolat chaud ne ferait pas de mal par un tel froid ah ah. Mais non, je ne peux pas accepter, ce ne serait pas raisonnable, merci tout de même. Enfin, si vous voulez vous en prendre un bien sûr, faites le ! Et. hm. Roh » râles tu, avant de venir te pincer l’arrête du nez. Voilà que tu t’embrouilles, Mathew, ce qui t’embête et, tu en es persuadé, embête l’inconnu. « Merci de votre aide, mais je ne veux vraiment pas vous déranger. » conclues tu, finalement, le regard fuyant et un sourire aux lèvres.
Maintenant, il s’agit de savoir dans quelle direction tu peux partir en courant sans prendre le risque de te perdre encore plus.
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